Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes car il est le gardien et la providence des enfants qui se sont égarés. Nous sommes les brebis égarées du Dieu Tarantino et Hexagonall notre berger qui nous guide à travers les vallées. Et de ces créations aussi efficaces et violentes que les oeuvres du Maître, il tapisse notre chemin…
C’est la fin du monde, le déclin, l’apocalypse ! Pour preuve les suffocantes illustrations de Vladimir Manyuhin qui nous livre sa peinture de l’avenir de nos villes et campagnes. Contrairement à Retrofuturs et sa série New Horizons où la nature s’immisce secrètement dans les villes, la nature reprend ici tous ses droits. Laissant un Homme spectateur de l’agonie du progrès. Sentez la goutte de sueur froide couler le long de votre épine dorsale…
Inglourious Basterds, le film où l’on tue les tueurs de l’Humanité. Controversé, critiqué, dérangeant, le dernier chef d’œuvre de Quentin Tarantino est pourtant source de jouissance quasi-inépuisable ! L’accent du Lieutenant Aldo ‘The Apache‘ Raine, la robe rouge de Shosanna Dreyfus, ‘The Jew Hunter‘ Colonel Hans Landa, la batte du Sergent Donny ‘Bear Jew‘ Donowitz, le lait de ‘Monsieur‘ Lapadite,…j’en passe et des meilleurs. Il y a près de deux mois, cette source de jouissance s’est encore agrandie avec une nouvelle collection d’affiches vendues aux enchères et dont les bénéfices ont été reversés aux victimes du tremblement de terre de Haïti…
